Je pense souvent à Jacques Robinet, disparu il y a un peu plus d’un an, le 29 juin 2024. Ce matin je me demandais encore comment, avec son corps à bout de forces depuis tant d’années, il parvenait à conserver sa douceur, sa patience, et cette capacité d’émerveillement qui lui faisait écrire :
Un peuplier suffit
à mettre la mort en berne
La vie à travers lui frissonne
des racines à la cime
L’Herbe entre les pierres, éditions Unicité, 2024.
Ses commentaires chaleureux et poétiques sur ce blog me manquent.
Alors voici une simple phrase, picorée dans un courriel :
Ne me préoccupe et ne m’intéresse que ce qui va dans le sens d’une ouverture, d’un accord possible entre l’Espérance et nous.