Pour préciser le sens de ce mot (voir article du 14 septembre), j’emprunte à quelqu’un (Bachelard ?) la distinction entre les abeilles (comme Colette) qui butinent et font leur miel de toutes les sensations que leur donne le monde, et les araignées (comme Sarraute) qui tirent de leur ventre les fils qu’elles étendent sur le monde.
Eh bien, les bouvardistes et les pécuchiens ne sont ni abeilles ni araignées. Peut-être juste des canards qui trébuchent de mare en mare.