… Proust est l’ange qui tombe maintenant du ciel pour m’aider à définir mon lecteur bouvardiste :
Son esprit sans activité originale ne sait pas isoler dans les livres la substance qui pourrait le rendre plus fort ; il s’encombre de leur forme intacte, qui, au lieu d’être pour lui un élément assimilable, un principe de vie, n’est qu’un corps étranger, un principe de mort.
(p. 183)
Je trouve en Proust sans le chercher ce que cherchais en moi sans le trouver. C’est peut-être ça, lire.