Je retrouve dans un vieux cahier un proverbe que j’ai relevé dans Le Rêve dans le pavillon rouge de Cao Xueqin :
« Il ne faut pas parler à un nain de choses trop courtes ».
C’est drôle et vrai, mais qu’est-ce que ça veut dire ?
Ce que j’ai tiré des 1790 pages du roman qui passe pour être le plus long du monde est indéniablement une chose trop courte mais tu n’es pas un nain, lecteur. Alors réjouissons-nous ensemble qu’une fleur de sagesse orientale borde aujourd’hui un sentier de nos divagations occidentales.