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Archives de l’auteur : Nathalie de Courson
Sur “Gens de Beauce”, de Gaëlle Obiégly
Gaëlle Obiégly conjugue la brutalité et la délicatesse. Je l’ai d’abord remarqué avec Gens de Beauce, livre travaillé, réfléchi, élaboré d’un côté ; direct, sans vernis, sans apprêt de l’autre. Le personnage principal du roman, Jeanne M., née en 1950, … Continuer la lecture
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Sur la voix de Gaëlle Obiégly
Gaëlle Obiégly écrit dans son avant-dernier livre, N’être personne, ces phrases très touchantes : De mon enfance, j’ai gardé la voix. (…) Enfant, mes propos dérangeaient les adultes qui me trouvaient d’une maturité anormale, j’ai pu passer pour une … Continuer la lecture
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Attentif
Ce mot porte en lui le battement de l’attente, du vif et du pensif. Quand je vois le mot « attentif » dans un roman je sens monter en moi une onde bienfaisante. Je me souviens en particulier d’un personnage … Continuer la lecture
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Petites notes de janvier
Rosalie Rosalie, la fidèle servante de Jeanne dans Une Vie de Maupassant, clôt le roman par ces mots : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit ». Devant notre situation politique j’imagine que … Continuer la lecture
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Les récits des violons
Le narrateur du dernier livre de Gaëlle Obiégly, Une chose sérieuse, évoque fugacement une femme israélienne, Myrrha, rencontrée à Tel Aviv, qui s’est mise à chanter en allemand. « La vie avait surtout lieu dans son for intérieur. Quand elle … Continuer la lecture
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Le fer s’habitue
Pour Gilda Jean Rouch, qui avant d’être explorateur et cinéaste était Ingénieur des Ponts et Chaussées, parle de ponts suspendus ne supportant que dix tonnes et que l’on arrive à charger de cinquante tonnes et plus grâce à un phénomène … Continuer la lecture
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Les familles et les amis
Familles d’écrivains Il y a celles que l’histoire ou la géographie littéraire regroupe, et d’autres plus recomposées parmi lesquelles figurent, par exemple, les auteurs d’un programme d’examen. Il existe aussi des familles tuyaux de poêle où le lecteur emboîte à … Continuer la lecture
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Ciseler
Le mot est à la mode dans les chroniques littéraires. Le compliment suprême que l’on adresse à un écrivain contemporain est d’avoir « une écriture ciselée ». Simple tic de langage critique, ou bien entre-t-on dans un nouveau Parnasse où … Continuer la lecture
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Retenir, saisir
Pierre Dhainaut dit dans Un Art des passages : Une éclaircie, le poème. L’éclaircie, par principe, est fugitive : si tu veux la retenir, tu n’as rien compris, elle te quitte. Philippe Jaccottet le dit plus calmement dans une Semaison … Continuer la lecture
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Peu
On peut noter peu, mais assez pour vivre. La Digue de Ludovic Degroote est pour moi un livre austère où la rigueur bride l’émotion. Ici et là, pourtant, des soupirs presque verlainiens m’arrivent à l’âme : La petite pluie à … Continuer la lecture
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