L’écriture est plus forte que mes autres vices : devant un verre de whisky et un cahier, j’oublie parfois de boire pour écrire.
Les dernières gorgées sont moins délicieuses que les premières mais ce sont de belles gorgées crépusculaires. Il y a une harmonie ce soir entre mon verre de whisky presque fini et les ombres du platane qui se creusent sur le mur comme des rides.