deux poètes sont rassemblés là je ne sais pourquoi : un gros barbu truculent qui déclare que « la poésie, c’est chiant » et qui écrit des choses fortes et drôles ; un mince précieux comme mon coiffeur et au crâne poli comme mon coiffeur. Il a écrit un seul livre, “mais qui compte”, susurrent des bouches. Il débite d’une voix métallique son poème où de temps en temps se détachent les mots « jouir », « jouissance », « mon sexe pointe », et où ne fait défaut que ce dont il parle, illustration parfaite des affirmations du premier sur la poésie.
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