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Un air dans la tête
C’était sans doute de famille. Riva, par exemple, la mère de Nilli, pouvait entendre de la musique dans sa tête même quand il n’y en avait pas. Et Sheftel, le bibliothécaire, chantait en arpentant le kibboutz en tricot de peau gris, il chantait en jardinant, en transportant de gros sacs sur le dos, et quand il vous disait « ça s’arrangera », il y croyait de toute son âme : ne vous inquiétez pas, ça s’arrangera, bientôt.
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Très souvent, lorsque je me réveille, je m’aperçois de ce que j’ai de la musique en tête. Souvent une des musiques sur lesquelles je danse dans mon cours de danse. A l’évidence, je rêve en musique, et cela me fait très, très plaisir.
c’est vrai qu’on entend moins, qu’on n’entend plus chanter et siffler sur les chantiers, enfant ( j’avais huit ans), après mon premier voyage à Paris où j’étais aller voir Rigoletto à l’opéra avec mes parents, je chantais à tue-tête en marchant dans les rues de mon village d’Algérie “comme la plume au vent”, je ne chante plus en marchant mais je siffle souvent en faisant la cuisine et je siffle toujours les mêmes airs depuis des décennies, machinalement et sans vraiment savoir ce que je siffle 🙂
Moi je ne sais pas siffler !