Quand je pars à vélo chercher mon pain je passe devant une prairie avec deux chèvres. “C’est Jean-Claude et Juliette”, me dit leur maître qui ouvre leur enclos le matin.
J’ai pris Juliette en photo au moment où elle convoitait puis atteignait une branche de tilleul.
L’autre nuit j’ai fait un rêve :
Une chèvre blanche et dorée est au pied d’un pommier, désireuse de sauter sur une de ses branches.
Je ne crois pas qu’elle y arrivera, elle est trop vieille.
Mais oh :
D’un bond elle atteint la branche et s’y installe. Sans aucune difficulté.
Réveil heureux.
Chère Mouette, tu n’en finis plus de bondir et rebondir… C’est à nous rendre chèvre !
Comme j’aime ce Blog et ce joli rêve où les impossibles trouvent si facilement une heureuse solution. Voilà qui me revigore après une nuit moins alerte que la tienne!!
Un abrazo
Vraiment jolie cette photo de la chèvre dressée sur ses pattes !
J’espérais bien que cette bondissante fille d’Eve te plairait 🙂
Un abrazo
Ces très charmantes photos instantanées de Juliette Duthilleul illustrent l’adage.
La première : il n’est pas nécessaire d’espérer pour entrprendre.
La seconde : ni de réussir pour persévérer.
Jonas, Juliette, il est important de baptiser ceux qui nous importent et nous intéressent, nous fussent-ils totalement étrangers : ils nous ont à leur tour muettement, mouettement apprivoisés.
Merci pour ce commentaire spirituel et encourageant !