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Archives de l’auteur : Nathalie de Courson
En arrière et en avant
Quel espoir me donne chaque livre que je lis, ou plutôt que j’ouvre ? Peut-être qu’il me révèle le secret d’une origine, et aussi me suggère un but vers lequel tendre. Un vent qui me pousse en avant.
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Un art du contact
Comment, au cours de mes promenades littéraires, ne pas rencontrer l’art du toucher par excellence : la sculpture ? Je ne me réfère pas aux ateliers qui font aujourd’hui travailler des équipes loin du sculpteur-concepteur, mais, très loin de ces … Continuer la lecture
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Bords 2 “Une mer monstrueuse et sans bords”
L’absence de bords entraîne l’effroi. Baudelaire, notamment, aime pour ses “tableaux parisiens” les bords et les cadres car sans eux les fantômes ne sont plus contenus. Un poème des Fleurs du Mal auquel je pense quelquefois est “Les Sept vieillards” … Continuer la lecture
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Voeux
Cette année le coucou a chanté sans moi. Mais je l’ai entendu hier en marchant vers la plage, une petite fois. Mettons que ce n’était pas un pigeon. Chaque année je fais un voeu quand j’entends le premier coucou d’avril. … Continuer la lecture
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Bords 1 “Toucher un bord”, notulettes
♦ Près de Louviers s’étend la forêt de Bord. Ce nom me rassure toujours enfantinement quand je passe à proximité ; je m’imagine que le Petit Poucet et ses frères n’auraient pas pu s’y perdre. ♦ « Toucher, c’est toucher … Continuer la lecture
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Un critique touchant
Comment touche-t-on l’œuvre que l’on commente ? Au cours de mes études littéraires j’ai toujours été rebutée par une critique plaquant sur son objet un discours scientifique trop extérieur à lui. J’étais davantage attirée par la « critique de … Continuer la lecture
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A la recherche de l’intouchable
On touche parfois mieux les choses ailleurs qu’en elles-mêmes. Dans la dernière partie d’Albertine disparue le narrateur se promène autour de Combray, dans les lieux de son enfance qui sont de nouveau à portée de sa main, et se sent … Continuer la lecture
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L’amour de loin
L’autre soir à la télévision une jeune promeneuse enjouée expliquait au reporter : « Quand tu rencontres quelqu’un qui t’plaît, c’est gênant de lui d’mander au moment de s’embrasser : ‒ Tu vas m’filer l’corona ? » Cette année la … Continuer la lecture
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Toucher les méduses
On n’imagine pas qu’un historien puisse être « touchant » au même titre qu’un poète, et c’est pourtant le cas de Michelet qui possède au plus haut point l’art de prendre tendrement les êtres entre ses mains. On le découvre … Continuer la lecture
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Guillevic : toucher contre la peur
Au cours de la sombre année 1942, deux poètes publient leur premier vrai recueil : Francis Ponge, Le Parti pris des choses, et Eugène Guillevic, Terraqué. Ils ont en commun de parler, à l’écart de l’univers onirique ou politique surréaliste, … Continuer la lecture
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