Notes de fin de mois

Après la pandémie

La pandémie m’a appris que la Terre n’a pas besoin des hommes. En 2020, les oiseaux, les papillons, les phoques (et certainement beaucoup d’autres bêtes) semblaient très contents que l’encombrante espèce humaine soit terrée chez elle.

Anges

Je rends grâce à deux nouvelles personnes  :

  1. Un technicien de chez Darty qui, le mois dernier, m’a délivrée gratuitement en cinq minutes d’un virus informatique strident. Le réparateur de la boutique d’à côté m’avait donné le choix entre hack et arnaque en me réclamant 60€. J’avais répondu : “Je vais réfléchir”. (Entre hack et arnaque ferait un bon titre de blockbuster.)
  2. Une dentiste qui, quand je quittais son fauteuil en lui demandant comment traiter mes vertiges, m’a répondu : « Par le mépris. » J’ai suivi sa prescription. En un mois mes vertiges ont disparu.

 

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5 réponses à Notes de fin de mois

  1. Farina Marie-Paule dit :

    Quoi qu’en pensent oiseaux, papillons et phoques, tout n’est donc pas perdu pour notre espèce et pour ce qui reste de vraiment inapaisable, si cela existe, en nous ou hors de nous, la prescription est bonne, oublions-le ou traitons-le par le mépris.

  2. Jacques Lèbre dit :

    “Sauver la terre” ? Non, une fois l’espèce humaine disparue, la planète continuera de tourner dans l’espace, avec de la vie : animale, végétale, aquatique…

  3. Daniel Levinson dit :

    29 février, anniversaires du sapeur Camembert et de l’oncle Raoul.
    Champagne !

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